Graver l'écorce...
Il y a quelque chose de bizarre, quelque chose qui me fait veiller tard.
Quelque chose qui m'incite à ne pas fermer les yeux.
Quelque chose qui m'incite à ne pas fermer les yeux.
Voilà ce que je me disais avant de te rencontrer :
"Depuis des mois, je marche seul. Je vais là-bas, où, je l'espère, en plus de la sensation de bonheur et de bien-être, il y aura de l'amour. Et si c'est pas d'l'amour, ça voudra dire que je ne suis pas allé au bout de mes rêves ; long is the road vers la plénitude".
"Depuis des mois, je marche seul. Je vais là-bas, où, je l'espère, en plus de la sensation de bonheur et de bien-être, il y aura de l'amour. Et si c'est pas d'l'amour, ça voudra dire que je ne suis pas allé au bout de mes rêves ; long is the road vers la plénitude".
Je ne pense pas être le premier à m'être dit : "finie la vie par procuration!".
On peut en voir défiler, des vies, vivre cent vies, et puis se dire : "ce n'est pas toi.".
On peut penser à nos actes manqués, et puis, juste après, tu te demandes à quoi tu sers, et tu vois rouge.
Alors, puisque tu pars, tu te dis que c'est ta chance, et qu'il suffira d'un signe pour sortir de la nuit.
On peut en voir défiler, des vies, vivre cent vies, et puis se dire : "ce n'est pas toi.".
On peut penser à nos actes manqués, et puis, juste après, tu te demandes à quoi tu sers, et tu vois rouge.
Alors, puisque tu pars, tu te dis que c'est ta chance, et qu'il suffira d'un signe pour sortir de la nuit.
Bonne idée?
Parfois tu manques des occasions, d'autres fois tu les saisis...
Quand tu écoutes les gens te parler, ça fait comme une musique, parfois, c'est pas génial, mais d'autres fois, quand la musique est bonne, tu te dis que tu as en face de toi quelqu'un qui compte.
Et puis, je t'ai rencontrée.
Quand tu écoutes les gens te parler, ça fait comme une musique, parfois, c'est pas génial, mais d'autres fois, quand la musique est bonne, tu te dis que tu as en face de toi quelqu'un qui compte.
Et puis, je t'ai rencontrée.
Quand j'échange avec toi, la musique est bonne. Peut-être que ça ne vaudra que quatre mots sur un piano...
J'aime être avec toi.
Une personne comme toi, chez qui je vois tant de choses qui me plaisent, je me dis qu'elle attend quelqu'un comme moi.
C'est certainement présomptueux, mais sans risque, on ira pas loin.
Par que je me dis qu'un jour, qui sait, tu me diras : "sache que je", et alors, je te dirai "serre-moi".
Crédit photo: lepetitjournal.com
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